Oui, l'exigence d'un billet aller-retour a été levée.

Oui, mais vous avez d'autres possibilités.  Les pièces d'identité en cours de validité suivantes sont également acceptées :

- Permis de conduire

- Carte d'identité nationale

- Carte d'électeur

- Carte de sécurité sociale

Tout citoyen d'un des sept États membres du protocole de l'Union Économique n'a pas besoin d'un permis de travail pour travailler dans ces États. Il convient de noter que tous les États membres associés ne participent pas à l'Union Économique, c'est-à-dire que les Îles Vierges britanniques, Anguilla, la Martinique et la Guadeloupe ne sont pas membres de l'Union Économique. Par conséquent, ces droits ne sont pas étendus aux États membres associés.

Non, il n'y a aucune exigence.

Oui, dès lors qu'il s'agit d'un permis de conduire valide.

En tant que citoyen d'un État membre du protocole, vous serez autorisé à entrer dans le pays pour une durée indéterminée. Vous recevrez un cachet "OECS free movement indefinite stay" (libre circulation de l'OECO pour une durée indéterminée) qui vous permettra de rester et de traiter vos affaires personnelles.

Les citoyens de l'OECO, leur conjoint, leurs enfants et les personnes à leur charge se verront accorder tous les droits liés à la liberté de circulation, y compris l'accès aux systèmes sociaux, aux régimes du marché du travail, à la santé et à l'éducation.

Un citoyen de l'OECO se verra refuser l'entrée dans les circonstances/cas où il ou elle représente un risque pour la sécurité.

Oui. La convention de sécurité sociale de l'OECO garantit la transférabilité et la couverture des citoyens de l'OECO lorsqu'ils se déplacent dans la zone de l'Union Économique.

Les citoyens des États membres du protocole ne sont plus tenus d'obtenir un permis de travail pour travailler dans d'autres États membres du protocole.

Tous les États membres du protocole font partie du Marché et de I'Économie Uniques de la CARICOM (CSME) et, en tant que tels, restent engagés et mettent en œuvre leurs obligations dans le cadre du CSME. Les États membres coordonnent leurs politiques et leurs positions afin de mieux participer à la CSME. Les procédures convenues pour faciliter le CSME sont toujours applicables aux États non membres du CSME qui entrent dans l'OECO et aux citoyens de l'OECO qui se rendent dans ces États membres, à savoir la Barbade, le Belize, la Guyane, la Jamaïque, le Suriname et Trinidad-et-Tobago.

Oui. Dans la poursuite des objectifs de l'Union Économique, les États membres conviennent de coordonner, d'harmoniser et d'adopter des politiques conjointes et communes dans les domaines suivants :

• Agriculture 
• Tourisme
• Transport et aviation civile
• Commerce
• Éducation 
• Développement humain et social
• Durabilité de l'environnement
• Télécommunications et technologies de l'information
• Services

La région est consciente que la criminalité s'étend au-delà des frontières nationales et que le seul mécanisme efficace est une coopération plus étroite entre les forces de police, les autorités douanières, le pouvoir judiciaire et leurs autorités compétentes dans les États membres, à la fois directement et indirectement en utilisant les institutions régionales existantes, à savoir le Système de Sécurité Régional (RSS), CARICOM IMPACS, "Advance Information Passenger System" (APIS) et la mise en place d'un système harmonisé de contrôle des frontières.

Le traité révisé de Basseterre garantit la libre circulation des citoyens, pour tous les citoyens des États membres du protocole dans la zone de l'Union Économique.  Il s'agit des citoyens d'Antigua-et-Barbuda, de la Dominique, de la Grenade, de Saint-Kitts-et-Nevis, de Sainte-Lucie et de Saint-Vincent-et-les-Grenadines.  Cela permet aux citoyens de vivre et de travailler dans ces États membres sans restrictions et des lois ont été adoptées dans tous les États membres pour donner effet à cette disposition.  Les citoyens des États membres signataires du protocole doivent être traités de la même manière que les ressortissants du pays dans lequel ils s'installent.

L'Assemblée de l'OECO est composée de représentants des membres élus des chambres du Parlement et des assemblées législatives des États membres. Chaque État membre indépendant de l'Organisation élit cinq membres de son Parlement à l'Assemblée, tandis que les États non indépendants ont droit à trois membres. Les représentants sont issus des partis de gouvernement et d'opposition, proportionnellement à leur représentation au sein de leurs parlements. Le mandat des membres de l'Assemblée est de deux ans à compter de la date à laquelle ils ont été élus ou jusqu'à la prochaine élection générale de la législature qu'ils représentent. L'Assemblée examine les questions qui lui sont soumises par l'Assemblée. L'Assemblée a le pouvoir de réviser la législation adoptée par l'Autorité et les règlements pris par le Conseil des ministres.

Vous devez obtenir un certificat de compétence délivré par une autorité compétente/une agence gouvernementale établie dans l'État membre du CSME. Ce certificat devra être vérifié par l'autorité compétente de l'État membre de la CARICOM d'accueil (dont vous n'êtes pas citoyen). Ces dispositions, bien qu'elles nécessitent certaines procédures administratives, permettent l'accès à l'emploi.

Veuillez consulter le protocole ou l'État membre associé concerné pour connaître leurs exigences individuelles.